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Sortie familiale 30/07/13

Le Mar 02 juil 2013

Comme chaque année, le Club a organisé sa sortie familiale au Pays de Tronçais le Dimanche 30 Juin 2013.

Une sortie vélo était prévue avec un départ depuis l'Auberge du ROND GARDIEN sur la commune de Saint Bonnet de Tronçais.

Douze cyclistes étaient au départ et ont parcouru 64 Kms en grande partie au milieu de la Forêt de Tronçais et ont pu admirer de magnifiques chênes plusieurs fois centenaires : magnifique!

Pendant ce temps, les non-cyclistes ont pu eux aussi se promener à travers bois pendant 1h30 alors que d'autres supporters ont suivi en voiture nos clyclistes en pleine forme… et sous la chaleur de l'Allier.

Ensuite vers 13 H, tout le monde s'est retrouvé autour d'un EXCELLENT repas à l'Auberge du ROND GARDIEN où (entre autre) un merveilleux BAVAROIS de foie gras sur lit de poireaux fut des plus appréciés.

Après le repas, histoire de digérer, Monsieur PERCHAT nous accompagnait avec sa gentillesse dans cette superbe forêt en nous expliquant l'histoire de tous ces immenses chênes et la vie de la forêt depuis des siècles.

Voici donc quelques photos illustrant cette magnifique journée.

5ème TOUR DE LA CIATE

Le Lun 27 mai 2013

Compte-rendu écrit de main de maître by Olivier F !

1ère étape difficile pour l'acrr

La malchance a frappé nos coureurs lors de cette étape marquée par des conditions climatiques dantesques.
Le froid, la pluie et la grêle avaient décidé de se mêler à la course.
Frédéric Aspinion, présent dans le groupe de contre, est victime d'une crevaison à 5km de l'arrivée alors qu'il avait de grandes chances de l'emporter dans sa catégorie. Guillaume Bronca a connu un problème de roue libre en fin d'étape et perd toute chance de s'imposer en junior.
Anthony Couzemain victime de plusieurs sauts de chaîne termine courageusement la course seul. 
Olivier Fournier, leader désigné pour le général abandonne sur chute à 3km de l'arrivée alors qu'il était dans la "bonne". Rageant car les jambes étaient là et le top 5 largement envisageable. Rien de cassé pour le bonhomme et le vélo mais de belles brûlures et hématomes.
Maxime Sartout abandonne au bout de 40km vaincu par la grêle.
 Frédéric finit 34ème et 2ème des 3ème catégorie, Guillaume finit 44ème et 4ème junior, Anthony lui finit 48ème et 4ème en 3ème catégorie.

Bravo à Taylor Barry pour cette belle victoire.

2ème étape CLM 

Justin 16min45, Fred 18min14, Guillaume 18min18 et Anthony 19min08 sur 11,5 km de chrono.

Justin est 2ème du général.

3ème étape

Après de bons temps réalisés sur le contre-la-montre ce matin, place à la dernière étape.
Celle-ci, disputée sur 72km, était une succession de montées et de descentes.
Justin Camus (Confolens), licencié FFC à l'ACRR était 2ème du classement général. C'est donc tout naturellement que nos garçons se sont mis à la planche pour lui.
Olivier, malgré ses blessures, a tenu lui aussi à prendre le départ afin de tout donner pour Justin : preuve que les valeurs qui sont les nôtres ne sont pas que de belles paroles.
Tout le monde a bien rempli sa mission durant cette étape, Fred, Antho et Guillaume ont bien protégé Justin durant le premier tiers de la course avant de laisser la place à Miche et Olivier. Ceux ci ont tout fait pour dynamiter la course et essayé de mettre le maillot jaune en difficulté. Malheuresement pour nous celui-ci avait une équipe solide à ses côtés et c'est donc une quinzaine de coureurs qui se sont disputés la victoire au sprint.
Olivier prend une belle 4ème place.
Miche arrive dans le contre et nos trois autres coureurs dans différents groupes un peu plus loin.
Au final Fred et Antho terminent respectivement 2ème et 3ème du classement des 3ème catégorie.
Guillaume se classe 4ème en junior.

Le bilan final est mitigé à cause de la malchance rencontrée lors de la 1ère étape. Avec un peu plus de réussite nos garçons ne devraient pas tarder à faire parler d'eux dans le haut des classements.

Compte-rendu des Bosses du 13 by Lulu !

Le Sam 29 oct 2011

Les bosses du 13 (18 septembre 2011)

Retour sur la performance de Jean-Luc Pluquet

Notre lulu national nous a transmis un résumé de sa performance sur les bosses 13. A lire sans modération :

L'avant-course : L'automne commence à s'annoncer, en effet pour se rendre au départ à Luminy, il faut mettre les phares en plus un orage s'est déclenché en fin de nuit rendant encore plus sombre le petit matin. On arrive donc sur le campus de la faculté des sports de Luminy aux portes de Marseille, là où est prévu le départ. Contrairement aux autres années, le départ sera donné 3 kms plus bas, départ arrêté au pied du col de la Gineste, les autres années le départ était lancé.
Comme l'an dernier, j'ai pu prétendre à un dossard prioritaire vu mon classement en 2010 (9ème du scratch et 2ème de ma catégorie). Comme sur les autres cyclos, les coureurs sont rangés dans des sas, les VIP tout devant, puis les prioritaires, et enfin les autres.Cette année le départ a été catastrophique, les organisateurs ont eu l'excellente idée d'ouvrir tous les sas en même temps et comme ceux ci ne sont pas tous les uns derrière les autres, tout le monde s'est mélangé dans un joyeux foutouard. On a même eu des coureurs qui passaient par dessus les barrières pour se retrouver devant.

La course : J'arrive tant bien que mal à partir, je descend donc les 3 kms qui nous séparent de la ligne de départ réel, et je retrouve en bas avec environ 500 ou 600 coureurs devant moi alors que j'avais un dossard dans les 200. La pluie s'est arrêtée, le jour est levé, mais n'ayant pas plut depuis plusieurs mois, la route est rendue très glissante, on appel ça le verglas d'été !! Départ donc au pied du col de la Gineste à bloc pour essayer de remonter le plus de monde possible. Col pas très difficile, 6 kms de montée à environ 5%, grande plaque à l'avant , 18 ou 19 dents à l'arrière et "hardi petit !!!" Ouf, on arrive en haut, mais les premiers avaient déjà attaqué la descente sur une route heureusement privatisée jusqu'à La Ciotat.
Le compteur à souvent frôlé les 70 km/h mais les premiers étaient encore loin !!! Passé La Ciotat, nous voilà parti vers Cassis et la monté de Cereste.

Je trouve la monté de Céreste plus dure que la Gineste, elle est plus longue, moins pentue, mais pour s'accrocher dans un groupe il faut monter assez vite, et pour ça, je ne peux pas monter en force comme j'ai l'habitude de faire. Il faut tourner les jambes assez vite, et ça j'ai pas trop l'habitude, si bien qu'en arrivant en haut, j'en ai plein les bottes !!! Je me retrouve donc dans le second groupe avec les premiers en point de mire, mais encore assez loin. On continue à rouler à bonne allure jusqu'à Gemenos, carrefour des 3 circuits. Là, les choses sérieuses commencent. Dès la sortie de la ville, on attaque la montée du col de l'Espigoulier, 12 kms avec 39*19 et le plus souvent 39*21. Dans le groupe, c'est moi qui semblait avoir le meilleur coup de pédale, c'est vrai qu'il n'y avait pas de gros costauds avec nous !!! A la moitié du col environ, un coureur du club organisateur, le VC la Pomme qui évolue en division continental pro revient sur nous. Bien sûr j'essaye de prendre la roue !!! 100 mètres en sur-régime et le Lulu explose. Les autres reviennent sur moi, je m'accroche dans les roues et tout rentre dans l'ordre.On arrive au sommet de l'Espigoulier, on se retrouve donc un groupe d'environ 15 coureurs, et on n'avait bien sûr pas repris les premiers qu'on avait aperçu une fois ou deux dans la montée, mais là, la messe était dite : (ité missa est comme disaient nos anciens).

Nous voilà maintenant parti vers Nans les Pins dans le massif de la Sainte Beaume, quand il fait soleil c'est très joli, mais ce jour là vent et grisaille, c'était pas le pied !! Nous voilà arrivés à Nans les Pins, on attaque le chemin du retour par St Zacharie. Un autre coureur du VC la Pomme qui était là pour s'entrainer revient sur nous. Je me colle dans sa roue, sur le plat entre 40 et 45 à l'heure bien caché, pas de problème, ça roule !!!! Nous voilà à St Zacharie avec au programme la montée de l'Espigoulier par le versant est, à mon goût plus difficile parce que plus irrégulier est plus casse pattes. Toujours bien calé dans la roue de mon 'meneur', on attaque la montée. Là, j'ai tout de suite vu que ça allait me faire drôle !! Je me suis retrouvé tout seul à m'accrocher dans sa roue, les yeux rivés à son dérailleur. On avait les mêmes cassettes et plateaux, dès qu'il changeait quelque chose, moi aussi!! On a fait les 3/4 de la montée avec 39/21, 39/23, en tournant les jambes comme j'avais jamais fais dans un col, mon cadenceur n'est jamais descendu en dessous de 75 tours minute. Vers le haut du col, je commençais à coincer, il a levé un peu le pied, heureusement, et il a fini par me ramener sur un groupe de 3 autres coureurs. Il a continué tout seul, inutile de dire que je n'ai pas essayé de garder la roue, trop content d'être rentré sur un groupe avec qui j'allais pouvoir rester. Nous voilà en haut du col, et cette fois on descend le côté qu'on avait monté à l'aller.
Et là je dois dire que ce jour là, j'ai eu ma bonne étoile qui a veillé sur moi. Les 3 autres gars avec qui je me suis retrouvé ont fais une descente de funambule à fond les ballons, sur route glissante et la route pas fermée, plusieurs fois je me suis retrouvé à gauche avec heureusement personne en face OUF !!! Merci ma bonne Etoile !!! Nous voici donc revenus à Gemenos, direction Aubagne. Entente parfaite entre nous 4.

On arrive à Aubagne, dernier ravito, et là badaboom, un signaleur nous aiguille sur une mauvaise route, caffouillage dans le groupe, et le Lulu par terre !! Aucun mal, je me relève vite, mais bien sûr les autres ne m'ont pas attendus !! tiens donc !!!! Je me retrouve tout seul, face au vent avec encore environ 40 kms à faire. Tout seul face au vent, l'allure n'était plus du tout la même, je me suis retrouvé complètement planté, plus d'essence !!! Je continue à mon allure, 2 coureurs que j'avais lachés dans la 2ème montée de l'Espigoulier reviennent sur moi, je réussi à prendre les roues. Heureusement, avec le vent qui soufflait, si j'avais dû terminer tout seul, j'y aurais passé toute l'après midi tellement j'étais collé. Je prenais presque plus les relais, j'avais qu'une pensée : arriver avec eux à La Ciotat au pied de la dernière montée vers le plateau de Carpiagne et de replonger sur Marseille. Nous voilà enfin à La Ciotat. Dernière montée, 6 kms à découvert avec le mistral en pleine poire !! Là encore, sauve qui peut, aucun des 2 coureurs avec qui j'étais n'a voulu faire une montée rapide, je me suis accroché comme j'ai pu à la limite de sauter plusieurs fois. Le sommet est arrivé comme un délivrance, on a plongé sur Marseille par la même route qu'on avait pris au départ (col de la Gineste) sur route sèche cette fois, le soleil était revenu.

Arrivé en bas, il ne restait plus que 3 kms de faux plat montant pour passer la ligne d'arrivée. Inutile de dire que je n'ai même pas essayer de disputer l'arrivée avec mes 2 compères, j'ai franchi la ligne 10 ou 15" après eux bien content d'être resté avec eux, je les ai d'ailleurs chaleureusement remerciés après la ligne. Voilà, c'était la dernière de la saison, avec au final un super résultat : 21ème du scratch à 19' du vainqueur et 1er de ma catégorie.
dsc01940.jpgRécompenses. Lulu premier de sa catégorie.

Etape du Tour : Issoire Saint-Flour (17/07)

Le Jeu 28 juil 2011

Etape du Tour : Issoire Saint-Flour (Dimanche 17 Juillet 2007)

Chapeau bas !

Descente. Jean-Michel face à des conditions dantesques.

Cette année, quelques uns de nos adhérents se sont lancés à l'assaut des BRS mais également des étapes du Tour organisées par ASO en collaboration avec Vélo Magazine. Plusieurs rilhacois étaient engagés sur la deuxième étape du Tour qui s'est douroulée le dimanche 17 juillet : Jean-Michel Chatard, Fréderic Monteiro, Nicolas Bastien, Alain Maury, Pascal Canard et Jean-Luc Pluquet.

Voici leurs témoignages :

Frédéric : Avec Nicolas, nous avons bâché. Nico en haut du premier plateau et moi au premier ravito. Le temps exécrable plus le froid ont eu raison de notre courage. Chapeau a ceux qui ont terminé(Pascal, Alain et Jean-Michel). Pour ma part après la première descente, juste avant le ravito, j'ai préféré ne pas prendre de risque. Pour info seulement 4500 partants au lieu des 9000 prévus. A l'arrivée uniquement 1982 coureurs. Au premier ravito a 70 km ils ont du ouvrir le gymnase pour accueillir les coureurs. Et les secouristes étaient en galère pour trouver des couvertures de survies pour réchauffer tous les gars en hypothermie. En somme, une vrai galère !!!

Jean-Luc : En ce qui me concerne, même constat que Fred et Nico et au même endroit ,étonnant non ?! Sur le plateau avant Allanche, dans la bourrasque face au vent avec 39x19 à 15 km/h debout sur les pédales, pas mal non ??? Sans rigoler, depuis que je fais du vélo (et ça ne date pas d'hier!!), je n'ai jamais connu pires conditions atmosphériques : vent, froid, pluie en plein mois de juillet, ça dépasse tout !!! Je me suis arrêté 12 kms avant Allanches pour savoir si Alain pouvait me récupérer, une chance pour moi il y était, mais je crois que ces 12 kms qu'ils me restaient à faire ont été les 12 kms les plus longs que j'ai jamais eu à faire, sans blague, c'était dantesque !!! Une heure après m'être arrêté, je grelottais encore. Le journal la Montagne qu'on a reçu 2 jours après donnait 4056 coureurs au départ sur les 6000 ou 7000 engagés pour seulement 1981 à l'arrivée. Voilà très brièvement résumé cette journée à marquer dans les annales mais surtout pas en bonne place. Je commence déjà à penser à l'année prochaine, je ne veux pas rester sur un tel ECHEC !!!!!!

Pascal : Pour ma part, ça c'est trés bien passé. Bien sur les conditions étaient désastreuses mais j'avais anticipé, habits de pluie, coupe vent et surtout, ridicule mais efficace dans ces cas là, un garde-boue à 5€, j'ai juste eu froid aux doigts. Je termine 404ème, content de moi.

Jean-Michel : 6000 inscrits 4000 partants 1982 arrivants, météo : jamais vu un chantier pareil, hallucinant, incroyable, c'était la guerre ! Tempête apocalyptique sur le plateau auvergnat pire que ma reco, 11km/h a bloc ! Beaucoup d'abandons ! 4 à 6° et 2° au puy mary... L'avantage c'est qu'ayant fait la reco par temps venteux et pluie tropicale sur le puy mary je savais que le pire c'était le plateau avant Allanche et la descente du pas de peyrol. J'étais 45 eme en haut de super lioran ! Mais la chevade m'a eu et après crampes car déshydraté et pas pu prendre de l'eau (ravito au milieu des cailloux !) Par contre chapeau aux nanas qui n'ont pas flanché ce qui m'a offert le plaisir de rouler 50 Km avec Magdalena et 50 autres avec Karine Saysset

Résultats :

1. Lilian Jegou 6h48'55" ; 2. Nicolas Roux 6h49'03" ; 3. Nicolas Baldo 6h53'27 ; 4. Wouter Sybrandy 6h56'20" ; 5. Romain Uzureau 07h01'29" ; 6. Jean-Luc Chavanon 7h11'21" ; 7. Mike Simpson 7h11'25" ; 8. Hervé Gilly 7h15'14" ; 9. Jean-Pascal Roux 7h15'19" ; 10. Jean-Baptiste Trauchessec 7h15'28" ... 13. Magdalena De Saint Jean 7h28'27 ... 33. Marc Lagrange 7h34'17" ... 65. Karine Saysset 7h49'36" ... 66. Jean-Michel Chatard 7h53'03" ... 106. Alain Riffaud 8h01'19" ... 258. Frédéric Laforge 8h29'01" ... 328. Patrice Négrier 8h39'57" ... 404. Pascal Canard 8h47'54" ... Alain Maury

Ont abandonné vaincu par la meteo :

Jean-Christophe Currit ; Jean-Luc Pluquet ; Nico Bastien ; Moana Choinest ; Fred Monteiro ; Pascal Hervé ; Thierry Maillet ; Christophe Leobon ; Sebastien Maginet ; Jean-phillippe Menneteau

Assemblée Générale (13/11)

Le Jeu 18 nov 2010

Assemblée générale du Club (Samedi 13 Novembre 2010)

L'éléphant de retour !

Comme indiqué dans la rubrique "news", l'assemblée générale a une nouvelle fois marquée la petite vie de notre club. Et, c'est devenu une tradition, notre "lulu" national n'a pas manqué l'occasion pour nous faire son numéro de l'éléphant. Plus complet et long que l'année dernière, il joint cette fois-ci le geste à la parole. A ne manquer sous aucun prétexte.

 

 

 

Vous trouverez dans la rubrique album photos quelques photos de cette soirée animée par "DJ Dardi" en pleine forme ce soir qui nous a gratifié de ses plus belles blagues. Merci à Jean-Michel Chatard, notre nouvelle recrue, pour la vidéo.

Boucles des 4 Provinces (29/08)

Le Ven 10 sept 2010

Course par étapes en Creuse : Les Boucles des 4 Provinces (Dimanche 29 Août 2010)

On vient, on rigole (beaucoup), on gagne et on s'en va !

" On a bien rigolé quoi ! " Telle est la phrase qui pourrait résumer la journée de l'Association Cycliste Rilhac-Rancon lors des premières boucles des 4 provinces. Une formidable journée placée sous le sceau de l'amitié mais aussi de la réussite avec d'excellents résultats à la clef. Pour rappel, le club rilhacois avait engagé deux équipes. L'équipe 1 était composée de Justin Camus, Michael Charroux, Jean-Luc Pluquet et Moana Choisnet ainsi que Benjamin Morell, des coureurs proches du club qui n'ont pas hésité à venir donner un coup de main.Williams Louit, Kevin Cao, Sébastien David, Alain Maury et Baptiste Petit (futur rilhacois ?) formaient quant à eux l'équipe 2. Enfin, Nicolas Bastien se trouvait dans la sélection Haute-Vienne en compagnie de Clavaud, Boramier, Restoin et Queriaud pour préparer le contre-la-montre national par équipes.

Equipe 1 : De gauche à droite : Moana Choisnet (meilleur grimpeur, un comble pour ce gros poids lourd !), Benjamin Morell, Justin Camus, Jean-Luc Pluquet, Michael Charroux et Pierre Barget (Directeur Sportif).

Equipe 2 : De gauche à droite : Baptiste Petit, Williams Louit, Alain Maury, Kevin Cao, Sébastien David et Denis Gaillard (Directeur Sportif).

Tout commença de bonne heure. Rendez-vous à 7H30, place de la Poste, à Rilhac-Rancon. Tous les vélos chargés dans le poids lourds 44 tonnes de Moana Choisnet et c'est parti pour une heure de route, en convoi, direction la Creuse. Bien sûr, les deux "petits jeunes" - j'ai nommé Baptiste Petit et Justin Camus - se perdront en route ! " Ouais allo, vous êtes oû ? On a loupé la sortie là ", s'exclamera Baptiste, un brin perdu, au téléphone. Toutefois le convoi arrive  finalement à bon port et, dès son arrivée, se fait entendre. "COUCOU C'EST NOUS !". Cris loufoques, coups de klaxons signalent ainsi l'arrivée bruyantes des rilhacois.

Contre-la-montre par équipe : Nico se place pour le général, l'équipe première effectue un super chrono, la première fois pour David et Maury

Place donc à la première étape : un contre-la-montre par équipes, assez roulant, de 13,8 kilomètres. Les objectifs sont simples : Nicolas Bastien est en mesure de viser le maillot jaune avec la sélection supersonique de la Haute-Vienne, l'équipe première peut prétendre à une jolie place dans le TOP 5 tandis que l'équipe deux fera du mieux qu'elle peut avec messieurs Maury et David pour qui c'est la première fois (oh les puceaux !). Bien concentrées, se préparant avec sérieux les trois équipes pré-citées s'appliquent pour parvenir à leurs desseins. L'équipe 1 partaient la première et faisaient d'emblée forte impression. Il faut dire que ce diable de Moana Choisnet s'imposa comme une terrible locomotive. Mister muscle imposait un train d'enfer à son équipe et dans son sillage Camus, Morell et Charroux donnaient le meilleur d'eux-même. Tant et si bien que notre pauve Lulu fût axphysié par ce rythme ultra-rapide. Au final, les quatre mousquetaires rilhacois signaient le deuxième meilleur temps de la matinée ! Pour l'équipe 2, les minutes précédant le chrono furent un authentique spectacle ! A 30 secondes du départ, Kevin Cao criait à qui veut l'entendre qu'il ne voulait pas prendre le départ. La scène comique fit rire  toute la place mais surtout permit un instant de détendre ses coéquipiers. L'équipe inexperimentée perdit très vite Alain au détriment d'une cassure. Notre homme à la grosse poitrine (t'es trop sexy mon petit Alain ;) ) termina tant bien que mal le chrono en solitaire. Devant, son coéquipier transporteur, Sébastien David, démontra une nouvelle fois ses qualités mentales et sa force tenant dix kilomètres avec ses partenaires puis il lâcha pour terminer à quelques mètres de Louit-Petit-Cao qui prirent la 14ème place. Enfin, sans surprise, la sélection Haute-Vienne signa le meilleur temps avec une moyenne de 47,40 km/h !!! Rien que ça. Coupant la ligne en premier, Stéphane Clavaud s'empare du maillot jaune mais Nico "Jaja" Bastien, tout comme Stéphane Boramier est dans le même temps. L'après-midi s'annonçait chaude ! L'ACRR s'apprêtait à faire la guerre !

 

Départ. L'équipe 1 quelques secondes avant le départ écoute les dernières consignes de leur directeur sportif Pierre Barget.

Course en ligne : les rilhacois à l'attaque

Après un repas inoubliable : " Il est où xxx ? - Aux toilettes. - Bon écoutez les gars, quand xxx revient, on lui fait une haie d'honneur pour qu'il se souvienne à vie de son caca ! (Cinq minutes plus tard) - Heu... Il est tombé au fond du trou ? (Dix minutes plus tard) - OUAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAIIIIS ! " et un "repos" tout en musique, en klaxon, cris et draguage (Baptiste t'es un beau gosse avec le maillot de rilhac) : " Non mais t'es excité toi, ça va pas la tête ! ", place à la course en ligne. L'objectif est clair, net et précis : le maillot jaune pour Nico. Dès le début de course, les attaques fusent de partout et on voit les maillots bleu-blanc-orange partout. Dans un première temps, Moana Spartacus, bien entouré par ses partenaires, conserve le maillot de meilleur grimpeur (C'est sa femme qui doit être contente, coquin va ;) ). Baptiste lui dispute le maillot de meilleur sprinteur. Tout va vite, très vite. Moana, Baptiste et Nico se retrouvent ainsi dans une échappée. Derrière, Benjami, Wiwi, Lulu et Justin font rideau. Las. L'échappée est reprise. Premier écueuil avec Justin qui sur des routes défoncées crèvent. Mais notre Tintin national réintègre vite le peloton. Le rythme est trop rapide pour Bastou et Alain qui craquent malgré toute leur bonne volonté. Kevin Cao, lui, descend chercher des bidons pour ses coéquipiers à mi-course, mais n'arrivant à ré-intégrer le peloton, il les donnera... à l'arrivée ! A l'approche du final, une échappée se dessine avec Moana en son sein. N'ayant pointer Boramier à l'avant, les rilhacois ne réagissent pas dans un premier puis le font avec un temps de retard. Gros regret. Stéphane Boramier s'empare du maillot jaune et Nicolas Bastien doit se contenter de la deuxième place. Les regrets vont vite être effacé...

 

Soudée. Tout au long de la journée, l'AC Rilhac Rancon a fait preuve de solidarité, d'amitié et de bonne humeur !

 

La troisième mi-temps : "Vas-y Bastou, Vas-y Bastou montre nous... ", " Flop, flop, flop", "Aurevoir les copains, à l'année prochaine"

Les regrets sont effectivement vite effacés par une cérémonie de récompenses inoubliables. Appelés sur presque tous les podiums, les rilhacois ont excellé dans leur domaine : mettre de l'ambiance. Et avec la manière s'il vous plaît ! A chaque rilhacois recompensé, celui-ci eut droit à une véritable standing ovation avec des cris venus d'un autre monde. Cette épisode aura également été l'occasion pour Baptiste de conclure lors de l'emballage final ! " FLOP, FLOP, FLOP ! " Un vrai sprinteur, celui-ci ! "Bastou" conclua également de fort belle manière son aventure en troisième catégorie par une victoire ! C'est quand même la seule personne que nous connaissons qui peut se targuer d'avoir gagné après avoir fait un arrêt pipi. "Non mais les gars je vous promet :  j'étais obligé de m'arrêter j'avais les crampes !".  En tout cas, cette céromonie marque une fois de plus l'identité du club : de l'humour, des cris, des rires en veux-tu, en voilà mais aussi des résultats à la pelle ! Pour avoir un ordre d'idée des recompenses, voici la listes des trophées gagnés :
 

Classement général : Nicolas Bastien, deuxième
Classement par équipe : Equipe 1, deuxième
Contre-la-montre par équipe : Equipe 1, deuxième
Course en ligne : Moana Choisnet, quatrième
Meilleur grimpeur : Moana Choisnet, premier
Meilleur sprinteur : Baptiste Petit, troisième
Troisième catégorie : Sébastien David, premier

 

Heureux. Couvert de trophées et de fleurs, le président Pierre Barget fut heureux de cette belle journée.

Cette journée restera comme une journée marquant dans l'année et dans l'histoire du club. En phase avec les valeurs de l'AC Rilhac-Rancon, les rilhacois ont porté haut l'étendard du club tant sur le plan de l'esprit que sur les résultats. Pourvu que ça dure !

Sortie familiale (27/06)

Le Jeu 29 juil 2010

La traditionelle sortie familiale (Samedi 26 et Dimanche 27 juin 2010)

La bonne humeur au rendez-vous

      Le 27 juin, nous étions 10 à sillonner le vignoble de Saint-Emilion dans le cadre de la traditionnelle sortie familiale. Il nous en restera le souvenir d’un week-end convivial  et chaleureux.

      C’est sur à l’îlot de Ménestérol sur les berges de l’Isle  que nous nous sommes donné rendez-vous pour débuter le week-end par un agréable pique-nique (généreusement préparé par Patricia et Alain) avant de nous diriger vers l’hôtel, à quelques kilomètres de là et  prendre possession de nos chambres. L’hôtel «  Château de Roques » à Puisseguin situé à 10 km de Saint-Emilion surplombe un vignoble de 50 hectares et offre, au gré des chambres des vues sur les vignes, sur le clocher de Montagne ou tout simplement sur sa cour intérieure calme et ombragée.

      La visite de la très touristique ville de Saint-Emilion est retenue pour activité de l’après-midi complétée par la traditionnelle excursion en TGV (train des grands vignobles) qui  nous offre 35 minutes de visite commentée sur les coteaux entourant la citée. Ce voyage est agrémenté d’une escale au château de Rochebelle (1er cru classé). La visite des caves monolithes agrémentée d’une petite séance de dégustation ne laisse personne indifférent puisque nous repartons tous avec quelques bouteilles ou un carton sous le bras pour enrichir nos caves.

     S’ensuit le retour à l’hôtel pour le repas du soir qui sera pris en terrasse puisque la météo est généreuse comme elle le sera d’ailleurs tout le week-end. Je vous épargne le menu mais il nécessite une marche digestive nocturne très agréable au milieu des vignes, puis dodo pour tout le monde : une belle journée nous attend demain.

     Dimanche matin, rendez-vous à 8 heures pour un copieux petit déjeuner alors que le thermomètre grimpe très vite. Après la traditionnelle photo de groupe, le départ se fait dans la bonne humeur et dès les premiers kilomètres nous passons devant les châteaux plus prestigieux les uns que les autres. Nous sortons un peu du territoire de Saint-Emilion pour faire une incursion dans les côtes de Castillon. L’ascension du petit Tourmalet bien connue des habitués de la Saint-Emilion cyclo nous surprend tous par un pourcentage que l’on ne s’attendait pas à rencontrer là. Le site est superbe, châteaux et vignes alignées au cordeau se succèdent; Gérard assure le reportage photo, ce qui l’oblige à quelques accélérations pour se positionner ; Pierrot trouve que ça roule un peu vite (dans les bosses, pas forcément dans les descentes) , Roger, lui fonctionne à l’inverse et s’impatiente dés que la route s’élève mais c’est un petit peloton groupé qui aborde la traversée pavée et montante de Saint-Emilion. Ce joyau de pierres traversé, nous continuons notre route vers le nord du vignoble pour traverser entre autres Pomerol ou encore Montagne et rejoindre le point de départ ou une terrine de foie gras au cognac et un filet d’esturgeon rôti arrosés du vin du terroir sont annoncés.. Les accompagnateurs et surtout accompagnatrices ont pour leur part diversifié les activités. Si certaines se sont adonnées au tourisme et shoping à Saint-Emilion, d’autres se sont offert une marche autour de la cité entre vignes et châteaux. Tout le monde était de toute façon ravi : la juridiction de Saint-Emilion est classée au patrimoine mondial de l’UNESCO et ce n’est pas usurpé. Encore une fois une mention toute particulière à Michèle Cruveilher, unique et brillante représentante féminine au sein de notre petit peloton.

      Le retour sur Limoges sera agrémenté d’un arrêt boisson (canicule oblige) au pied du château de La Rochefoucaud (pas entouré d’un vignoble celui-là) et c’est là que tout le monde se dira au revoir et rendez-vous l’année prochaine pour une nouvelle destination.

                                                                                       Michel Labrousse

 

Convivialité. Les coureurs et les accompagnatrices ont vécu un joli week-end.

 

Championnat régional (30/05)

Le Jeu 03 juin 2010

Championnat régional Ufolep à Saint-Julien Le Chatel (Dimanche 30 Mai 2010)

L'Association Cycliste de Rilhac-Rancon proche du carton plein

Lauréats. Les champions 2010 avec deux rilhacois à l'honneur : Fred et Christian.

L'Association Cycliste de Rilhac Rancon a frôlé le carton plein à l'occasion des championnats régionaux ufolep. Engagés dans quatre catégories, la dizaine de représentants rilhacois ont ramené deux titres (30-39 et 40-49 ans) et deux podiums (17-18 ans et 19-29 ans). Deux podiums qui ont bien failli se transformer en titre. Dommage, un 4/4 (ou un 4x4 comme celui de Bastou) aurait été parfait. Ces excellents résultats confirme la très bonne saison actuelle du club présidé par Pierre Barget. Récit d'une journée placée une nouvelle fois sous le signe de l'amitié et des (bons) résultats.

Juniors : Pipi dans la culotte les petits !

Nos quatre juniors (Justin, Manu, Adrien et Yohan) avaient un joli coup à jouer dans la catégorie 17-18 ans. Ne le cachons pas : le maillot régional était clairement visé. Avec autant de maillots orange et bleu au départ, et à la vue des bons résultats de début de saison de nos loulous, l'objectif n'était en rien ambitieux. Juste réaliste. Mais face à ce dessein, nos coureurs avaient la boule au ventre. Le gros stress. Pire que le stress des exams : le stress du championnat régional. Si bien que pour se défaire de ce stress, Justin posa une mine d'entrée en jeu. C'était parti un superbe numéro de soliste ! Huit tours durant notre TINTIN national faisait forte impression en tête avec une avance oscillant entre 30 et 60 secondes. Derrière, Manu surveillait les intérêts de son copain tandis que Yohan et Adrien furent irrémédiablement éjectés par le rythme supersonique de la course. Malgré la réaction des poursuivants et la perte de son avance, Justin se destinait au paletot régional. Las, profitant de l'inspiration du peloton des +50 ans et de la pagaille générale (pour ne pas dire plus), Justin fut ratrappé par ses adversaires à la flamme rouge et dû se contenter de la dernière marche du podium. Notre sprinteur maison, Manu, n'eut la possibilité de se faufiler au milieu de ce capharnaum et se classa 6ème. Yohan et Adrien terminent 14ème et 16ème.

Echappée. Sacré numéro de soliste de Justin parti seul devant durant quasiment toute la course.

19-29 ans : Le maillot ne restera pas au sein de la maison...

L'an dernier, l'AC Rilhac-Rancon avait réalisé la course d'équipe parfaite, ce qui avait permis à Cyrille Charroux de s'emparer du titre régional. Bien sûr, cette saison, l'objectif était le même. Eh bien, à peu de choses près, l'ACRR a failli récidivé ! Dans cette course débridée, personne ne réussit sérieusement à prendre la poudre d'escampettes. Malgré tout, Nicolas tenta cranement sa chance à un peu moins de deux tours de l'arrivée. Le récent vainqueur du Tour de la Ciate, ne fut rejoint que lors des derniers kilomètres. Et, c'est à la flamme rouge, qu'Anthony Queriaud effectua un grand coup de poker. Au bluff, il s'échappa pour finalement rallier l'arrivée en vainqueur. Derrière, Nicolas règla assez aisèment le peloton. Seul satisfaction pour notre palois qui désirait ardemment ce maillot pour compléter son impressionnante collection. Cyrille Charroux, le champion régional sortant, cède donc son maillot en se classant 6ème. Son petit frère, Michael, termine 14ème.

Podium. Nicolas Bastien, deuxième.

30-39 ans : Retour fracassant pour Fred Monteiro

On l'attendait avec impatience. Lui. Lui qui avait écrit les plus belles pages de l'histoire de l'ACRR. Lui au moteur si impressionnant qu'il n'a même pas besoin du vélo de Cancellera. Lui, Fréderic Monteiro. Eh bien, profitant de son retour à Limoges, Fred est remonté sur le vélo. A fait sa première course. Et a gagné. Simple comme bonjour. Cette victoire, il l'a doit à son talent certain mais également à ses deux partenaires, j'ai nommé Sébastien David dit "Bastou" ou "Le Transporteur" et Williams Louit dit "Wiwi" ou "dompteur de chevaux (de biquettes désormais). Car, l'activité de ces deux-là au sein d'un impressionnant peloton est à souligner. A juste titre. Car, c'est Williams qui montra le maillot rilhacois en premier. Echappé en compagnie notamment de Boramier, on crut un long moment que c'était lui qui allait sortir du chapeau rilhacois ! Las, les fuyards furent repris. Ce fut alors à Fred d'entrer en piste. Lors du dernier tour, il posa une violente mine. De suite, il prit 10 mètres d'avance. Quatre coureurs l'accompagnèrent alors dans sa fugue. Derrière Wiwi et Stéphane Boramier protégèrent les intérêts de leurs partenaires malgré la tentative de réaction de l'UC Felletin. Fred pu alors cueillir, au sprint, le maillot de champion régional. Williams, très en jambes, règla, lui, le peloton en s'emparant la 6ème place. Et notre Bastou, auteur d'une belle course au milieu des "1ère" finit dans le peloton en 20ème position.

Echappée. Williams Louit, très en forme, a joué aux éclaireurs.

Retour. Première victoire pour Fred, prochain objectif le championnat départemental.

40-49 ans : Boutin, le plus malin

Pour conclure la journée en beauté, la dernière chance de médaille reposait sur les épaules de Christian Boutin chez les 40-49 ans. Déjà auteur d'une belle course à Chamboret, on savait notre vététiste en bonne forme. Il a confirmé en s'emparant du titre régional. Pour ce faire, il s'amusa d'abord à secouer viollement le cocotier. Il fut ainsi à l'initiative de la "bonne". Il emmena dans son sillage trois hommes. Puis, pourtant peu doué dans l'exercice, il les déposa au sprint. Christian signe par la même un bon succès et épingle un nouveau maillot à sa collection. Dans la même catégorie, beau comportement d'Alain Maury qui s'est bien battu et qui termine 20ème. 

Progression. Christian confirme sa montée en puissance.

Sur le plan comptable, on retiendra donc les deux maillots régionaux de Christian et Fred ainsi que les titres qui ont échappé de peu à Justin et Nicolas. Des résultats de bonne facture qui confirme l'excellente saison actuelle du club. Sur le plan humain, on retiendra une nouvelle fois l'amitié, la convivialité et, disons-le clairement, les conneries/blagues qui ont émaillé la journée avec par exemple le coin apéro/repas/fan-club aménagé par les familles Meyrat et Camus. Cet état d'esprit provoque une saine émulation entre tous les coursiers qui de ce fait accumulent les honneurs. Pourvu que ça dure !

Texte : Kevin Cao.
Photos : Velo19.Com (Bernard Eyrolles) et Ufolep23 (Daniel Grosvallet)